Vous avez sûrement remarqué mon absence prolongé d'un mois entier de l'internet.
La raison est simple, LES ÉTUDES ! Mais je ne disparais pas et j'essaierais tout de même de revenir dès que possible. Encore désolé et à la prochaine ! À plus !
Oh regardez ! Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Une vidéo ?! Fait avec des moyens totalement hollywoodiennes ? Non c'est faux, mais j'ai acheté du matos pour m'amuser à faire des vidéos : caméra, éclairage, micro,... Donc, je fais quelques tests pour le moment.
N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Bisous ! À plus !
Tiens donc, quel étrange article que celui-ci, non ? Est-ce une critique ? un texte long et chiant sur ma passion pour juger la beauté et la mocheté des gens ? Absolument pas, j'ai décidé de partir sur quelque chose de plus spécial pour le plaisir du cœur des yeux. (c'est de l'ironie)
Récemment, j'ai offert du temps de cerveau disponible pour le film "La Belle et la Bête" de Disney, et pour lequel je me suis retrouvé désemparé et attristé devant le constat de la nullité de ce long-métrage. Je tiens à rassurer les puristes, je ne parle pas de l’excellent chef-d'oeuvre de 1991 ayant reçu deux oscars de la Meilleure composition et Meilleur chanson originale de Céline Dion et a été nominé dans la catégorie Meilleur film.
Je tiens à dire que ces récompenses sont fortement mérités, d'une part parce que le film est tout bonnement magnifique avec une excellente qualité d'image qui surpassera la concurrence de l'époque (Rock-O-Rico du grand Don Bluth ou Fievel au Far West produit par Steven Spielberg) avec les premières utilisations d'images de synthèse dans les débuts 90. De plus, les personnages sont touchants avec une inspiration pour le film de Jean Cocteau de 1946.
La Belle et la Bête de Jean Cocteau
Une jeune fille décide de sacrifier sa vie pour sauver celle de son père en vivant avec une bête avec laquelle, elle finira finalement par sympathiser et développer des sentiments à contrario des idées reçus de son village.
Une histoire universelle avec un joli message sur la peur de l'inconnu pour s'approprier un grade important. (coucou Marine Le Pen) Et n'oublions pas les chansons qui sont devenus cultes depuis sa sortie.
Alors est-ce que ces louanges sont dû à de la nostalgie et une naïveté infantile ? Pas forcément, j'ai regardé ce film très tardivement et je l'avais déjà trouvé excellent à l'époque, en soit j'étais déjà capable de faire la différence entre un bon et un mauvais film.
Alors je ne vous parle pas de la chute qu'à été son remake sorti en 2017.
Mais fini de parler de bonnes choses, mettons les mains dans la merde et allons-y pour un joli coup de gueule, de quoi mettre un revers de la droite à ce film que je considère comme mauvais et hypocrite.
La Belle et la Bête (2017)
La Belle et la Bête ou l'Anti-Cinéma
Réalisé par Bill Condon connu pour Twilight Révélation Partie 1 & 2, Le Cinquième Pouvoir ou Mr Holmes. En soit, un YesMan qui réalise les films qu'on lui demande de faire pour le compte des producteurs et un réalisateur qui tente de faire passer ses films dans la case Oscars. Ce qui ne rassure pas quand à la production si le réalisateur ne fait que ce qu'on lui demande et ne propose rien de concret. L'histoire ?
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Une jeune fille décide de sacrifier sa vie pour sauver celle de son père en vivant avec une bête avec laquelle, elle finira finalement par sympathiser et développer des sentiments à contrario des idées... attendez une minute ?! Mais c'est le même putain de pitch ?! Non, ce n'est pas une impression de déjà-vu dû à un bug de la matrice !
Excusez-moi d'être aussi vulgaire, mais comment souhaiter être un remake, lorsque l'on ne propose que la même soupe au public. Une bête copie de l'ancien film mais avec des images réels. Autant regarder le film original par ailleurs.
Bon, la critique pourrait s'arrêter ici, mais je voudrais tout de même vous dire quelques mots sur le film en lui-même et sur le terme de remake.
Un remake (de l'anglais "refaire"), a pour but de refaçonner un film déjà existant, cela peut être pour des raisons de contexte ou pour ajouter un nouveau point de vue à l'histoire. Souvent décriés, les remakes ne sont pourtant pas des mauvaises choses, ils proposer des nouvelles idées et approfondir le film original. En témoigne des films comme King Kong de Peter Jackson ou True Lies de James Cameron. Mais des films comme Psycho de Gus Van Sant qui ne propose qu'un film décalqué plan par plan de l'original par Hitchcock. Où est l'intérêt ?!
Psycho (Alfred Hitchcock et Gus Van Sant)
Pour ce film, c'est le même cas, bon certains sont différents, mais d'autres font clairement écho à l'original pour toucher la sensibilité nostalgique du public. Ce qui est un non-sens, on ne peut, à de rares occasions, reprendre une esthétique d'animation pour la retranscrire dans le réel. Si vous souhaitez tout bonnement voir un film fantaisiste reprenant les bases du long-métrage d'animation, pourquoi ne pas regarder la comédie musicale de 1994, bien réalisé et nous plongeant dans un univers musical ?
Le Livre de la Jungle et Maléfique avaient au moins la décence de proposer du neuf dans leur histoire et imaginer de nouveaux points de vue.
Maléfique (2014)
Mais ma tête était tout de même remplis de questions. Pourquoi diable, les gens vont s'atteler pour voir ce genre de films ? Parce que Belle est jouée par Emma Watson ? Grâce à une campagne publicitaire forcée et nauséeuse ? Parce que LeFou est homosexuel ? J'ai donc posé la question à une fan Disney pour le savoir.
Cette dernière expliquant que c'était son rêve de voir tous les personnages qui faisaient son enfance sous forme réelle. Je lui est donc jeté le DVD de la comédie musicale pour lui faire comprendre.
Note à moi-même : jeter des DVDs sur les gens, les énervent.
Mais elle m'a aussi expliqué, que le film est tout de même différent sur certains points et apportent même des éléments. Éléments que je me vois obliger de démonter ! Attention ça va spoiler !
Le film rajoute bien des choses, malheureusement sont mauvais et détruit entièrement le message du film précédent.
- La mère de Belle est morte de la peste à Paris (parce qu'il fallait absolument une scène à Paris) : ça change quoi ? Elle reste fidèle à elle-même jusqu'à la fin, avec ou sans maman mourante.
- La Bête est un petit con, parce que sa mère est morte quand il était jeune et son père est un connard : vous êtes en train de dédouaner les actions du personnage, vous savez qu'il n'y a pas forcément une raison à tout pour que les gens soient des petits connards ?!
- Les habitants sont mauvais, parce que secrètement, ils ont perdu quelqu'un mais ne s'en rende pas compte à cause du sortilège de la sorcière qui a enchanté la Bête : vous êtes en train de dédouaner, une fois de plus, les actions des villageois. Le principe du film orignal était de montrer que les êtres humains en tant que foule, d'une unité, peut être manipulé par des personnes de mauvais augure par le pouvoir de la Peur, une chose qui arrive souvent dans le monde réel.
Bref, vous aurez compris, les ajouts sont mauvais car ils tentent de tout expliquer, prenant même son public pour un idiot fini. Le film original laissait des zones grises pour laisser à son public le droit d'imaginer ses propres idées pour les remplir, mais aussi démontre aux enfants une incroyable morale : rester réfléchi et ne jugez pas un être par son apparence et ne vous laissez pas entraîner par une foule en colère ni par un être de cruauté par son charisme qui ne cherche qu'à acquérir quelque chose (coucou les partis de Droite).
On pourra rajouter des effets spéciaux abominables (mon dieu ! mais vous avez vu Lumière ?!) et des acteurs à leur strict minimum. Mais je citerais un bon point, les chansons un peu plus longue, qui restent toujours en tête.
Donc oui, je déteste ce film. Pour sa façon de prendre le public pour un abruti, pour expliquer tout et rien pour éviter toute prise de risque. Il détruit ce que rendait le film original aussi excellent. Je suis sans doute dur, mais il faut que vous rendiez compte de l'inutilité totale de ce genre de projet.
Alors sans doute, j'en fais un peu de trop. Je sacralise peut être le cinéma, plus qui ne le vaut vraiment. Après tout, le cinéma n'était à la base qu'une bête attraction dans les cirques et les foires visant à émerveiller le public sur un train arrivant à la gare. Mais il ne faut pas oublier qu'aujourd'hui, le cinéma est (et l'était déjà à l'époque), l'arrangement entre la créativité d'une équipe artistique et le instinct commercial des producteurs. Mais il ne faut surtout pas laisser, les producteurs prendre trop d'importance dans une oeuvre artistique, sinon on ne laissera aux futurs générations, que des films pré-mâchés et sans intérêt créatif comme le remake de La Belle et la Bête. Tout est une question de dosage et d'implication.
J'aurais pu le laisser passer, mais ce n'est pas le cas. Il a tout de même atteint 1,264 milliards de dollars au box office mondial dont plus de 3,5 millions d'entrées en France. Tout simplement, parce que les gens voulaient retrouver leur sensibilité nostalgique au prix d'un ticket de cinéma. Alors qu'il suffit de prendre un DVD à 5€ sur Le Bon Coin, ou de le reprendre en Blu-Ray pour une meilleure qualité à 20€ avec plein de bonus.
Surtout que Disney a trouvé un nouveau filon a exploiter, avec les futurs remakes à l'avenir qui seront tout aussi "même chose"que les orignaux (Aladdin et Le Roi Lion en 2019). Seuls Mulan, Dumbo et Winnie l'Ourson semblent prendre des chemins différents.
Mais je n'oublie jamais une chose, ce film va disparaître. Lentement, mais sûrement. Car ce qui faisait la qualité du film est resté dans le temps et reste encore aujourd'hui célébré et acclamé. Pour son remake, plus aucune personne n'en parle et tout le monde semble déjà l'oublier à petit feu.
Donc, je vous déconseille le remake, ressortez votre DVD de 1991 ou la comédie musicale et rematez-le une milliardième fois. Sinon regardez aussi la version de Cocteau ou celle de Xavier Gens (pas fameux, mais à le mérite d'être intéressant). Car eux, au moins, valent le coup d’œil.
Merci d'avoir lu ce "petit" coup de gueule, je vous souhaite un bon dimanche et à la prochaine ! À plus !
Bonus
En faisant mes recherches, je suis tombé sur une comédie musicale sur Shrek, et je voulais absolument vous partagez ça ! Me remerciez pas, c'est cadeau ! Enjoy ! ;)
Aujourd'hui quelque chose d'un peu plus spécial que d'habitude. Puisqu'il ne s'agit pas d'une bande dessinée, mais d'un story-board. Quelque chose que j'ai appris à adorer faire et que j'espère en faire mon métier à l'avenir.
Et merde, on part sur le larmoyant, maintenant !
En effet, je me suis pris de passion à créer des dessins narratifs dans le but de raconter une histoire dans les stades préparatoires. Je ne vais pas vous en dire, car j'espère faire un article entier pour expliquer le concept de story-boarding et tout ce qu'il implique dans le stade préproduction d'une oeuvre.
En tout cas, si ça vous intéresse, je vous conseille "L'Art du Story-board" de Giuseppe Christiano ou les livres sur "Evangelion" et "Star Wars" ou "The Art of Pixar". En espérant vous avoir donner envie de vous intéresser un tant soi peu sur ce domaine, on en parlera plus en détails sur un futur article.
Aujourd'hui, j'ai décidé de déclarer mon amour à l'une des séries d'animation récentes les plus incroyable qu'il m'ait été donné de voir dans ma vie. Une série rempli d'action, d'aventure, à l'humour absurde et aux personnages aussi étranges que mémorables. Il est à sa dernière saison et se rapproche de la fin sur Cartoon Network. Non, je ne parle pas de Adventure Time, mais de Le Monde Incroyable de Gumball (The Amazing World of Gumball).
Créé en mai 2011 par Ben Bocquelet et diffusé sur Cartoon Network. La série raconte les péripéties dans la vie du chat bleu Gumball et de son frère adoptif, le poisson Darwin.
Alors je concède, un tel pitch peut facilement vous rendre réticent à l'idée de suivre cette série. Après tout, un "slice-of-life" sur une galerie de personnages originaux, n'a rien de véritablement... original. Mais laissez-moi vous prouver, en quoi vous devez vraiment la regarder, et pourquoi j'ai raison et vous avez tort... attendez ?
Mélange d'animation
Ce qui vaut en premier lieu son originalité, c'est bien sûr la forme dont est présenté Gumball. Un subtil mélange de personnages dessinés à la main, en images de synthèses, un peu de motion de capture, des marionnettes et même des personnages réels avec Sussie, qui n'est en réalité qu'une bouche avec des yeux en plastique. Et s'il ne suffisait que de cela, mais les auteurs travaillent aussi le style des personnages, avec certains qui ressemblent aux bandes dessinées indépendantes, des tapisseries pour enfants, des mascottes de publicités. On a une pléthore de styles et d'idées qui offrent une infini de possibilités en termes de caractérisation.
Cette infinie se joue aussi dans la forme que prennent les épisodes, les décors sont dans un style ultra-réaliste pour dénoter des personnages et des passages vont demander à des artistes externes à la série de proposer un point de vue différent. Une scène de skateboard animé par Simon Landrein, un épisode en marionnettes par les auteurs de Don't Hug Me I'm Scaredou une chanson animé en dessin d'enfants par Tim Webb. Ou mon préféré, une scène de combat animé par le Studio Trigger (Kill La Kill, Little Witch Academia, Darling in the Franxx).
Des scénarios originaux
Les histoires mélangent à merveille l'absurdité et la logique des événements. Dans la liste des scénarios les plus fous, on a celui où les personnages s'adoptent entre eux pour empêcher un mariage, un monde où internet a décidé d'arrêter de fonctionner ou une télécommande qui permet de modifier la épisodes. La série détourne les codes des animes, cartoons ou autre fictions pour aller dans l'absurde totale et utilise tous les moyens possibles pour devenir aussi peu prévisible pour les spectateurs.
Ajoutez à cela, les mélanges d'animation qui s'intègrent directement dans le scénario, et tout est possible dans Le Monde Incroyable de Gumball, même ce qui devrait être le plus improbable.
Des situations drôles
Gumball est magnifiquement drôle, les situations sont remplis de moments mémorables notamment dû aux détournements des codes que la série cherche à retourner. Je ne peux malheureusement vous donner de véritable argument, étant donné que le sens de l'humour est subjectif et tous peut prendre une blague différemment selon les personnes. Mais si vous adorez le mélange d'absurde, de comédie de situation, l'humour anglais, le détournement et le "je m'en fiche, je fais ce que je veux", alors Gumball est fait pour vous.
Une satire intelligente
Si les premières restaient assez doux en ce qui concerne notre société, les suivantes devenus plus acerbes et critique envers notre société actuelle.
De la société de consommation aux problèmes de budget des services publiques. Les épisodes ne se privent pour donner leurs mots en rapport aux problèmes que nous rencontrons, tout le monde prend pour son grade sans lésiner : les écolos, les politiciens, les SJW, les réseaux sociaux, les fast foods, l'administration, les grosses corporations, la télévision, l'hypocrisie des gens, le paraître... Ce qui a parfois un peu le don de te rendre un peu dépressif.
On a eu droit à un épisode parodiant les dernières élections présidentielles et Donald Trump apparaît lui-même en tant qu'antagoniste (bon il seulement nommé comme "le Maire").
Attention, ce ne sont pas non plus des argumentaires complets et élaborés, on reste dans le domaine de la série familiale. Mais quand on vit dans un monde sans Les Guignoles, c'est toujours plaisant.
En partie français
Attention moment patriotisme
Je ne suis pas du genre à adorer tout ce que la France produit ou 100% français *hum hum hum*, mais savoir qu'une partie de l'équipe de production est française, cela donne un peu d'espoir pour toute personne souhaitant proposer du contenu sur le continent américain. Surtout que Cartoon Network vient d'installer des studios en Europe et cherche des talents dans d'autres pays pour remplir sa grille de programmes.
Pour l'histoire, Ben "Benjamin" Bocquelet a proposé de créer une série en mélangeant toutes ses créations commandées, dans des publicités ou autres, jamais utilisées, comme leur insuflant une seconde vie. Une façon de dire que vos idées peuvent aller hors des limites et inspirer des créations étrangères.
Un travail sur les émotions
Les émotions et les visages cartoons dans Gumball sont finement travaillés. Si les expressions des premières saisons étaient souvent les mêmes, elles ont évolués pour donner ce qui a de cartoonesques. Une galerie d'expressions pour qu'on se sente en accord avec les personnages et leurs situations.
Elles sont dynamiques et apportent du cachet à l'humour.
Je me suis personnellement inspirés des travaux pour mes bandes dessinées.
Storyboard
Expressions des nouvelles saisons
De plus la plupart fait entièrement parti des gags et représentent parfaitement ce qui nous pouvons ressentons (gêne, honte, colère,...). Rien que pour ça, la série a beau être imaginaire, elle se rapproche de notre réalité.
Pas que pour les enfants
Comment ça, ça reste une fiction pour enfants ?! Même après tous les arguments que j'ai pu vous transmettre ?! (je vais vous faire du mal)
D'une part, la série devait être diffusé sur Adult Swim, la chaîne dédié à l'animation adulte. Mais a été conduite sur Cartoon Network car jugé trop mignonne. Mais je tiens à dire, que ce n'est pas parce que quelque chose est doux en apparence, elle ne l'est pas forcément dans le fond.
On ne blague pas avec Le Monde Incroyable de Gumball. Des personnages en prennent pour leur grade avec une violence pure et il est courant de mourir dans l'univers (pour mieux revenir). En plus de la satire acerbe, on présente des messages moins naïfs, ce qui ne met pas de côté le public adulte voire qui vont en contre-sens des morales établies. Il inculque même aux parents que les jeux vidéos ne rendent pas violents, mais seulement les idiots.
Et je ne vous parle pas de tous les sous-entendus sexuels que vous trouverez de part et là dans les épisodes, sans forcément entrer dans le gratuit et sachant être subtil.
De bonnes chansons
Forcément, quand on développe une série contenant 240 épisodes, on peut se permettre de sortir des chansons pour souligner le trait comique. Des épisodes spéciaux seulement chantés, des drôles, des dépressifs, des caricaturales,.. On a le droit à des parodies de En été de La Reine des Neiges ou Hello d'Adèle, voire Happy de Pharrell Williams. Vous avez aussi une chanson qui explique à quel point nous sommes ridicules face à l'immensité de l'univers, ou une qui redonne foi en l'humanité, même quand les temps sont durs. (Je vise les dépressifs).
Elles sont mémorables, les musiques entraînantes et servent même de sonneries de téléphone.
Des références à foison
Gumball, c'est aussi une galerie de références, il y en a des centaines et sont généralement assez bien cachés pour ne pas être vus du premier coup d’œil ou servent l'intérêt même de l'épisode. On ne parle pas de références évidentes, mais on en a pour tous les goûts : le cinéma, les memes internet, les jeux vidéos, les séries TV, les animes,... Elles sont bien utilisés, ne partent pas dans le racolage et ne les utilisent pas n'importe comment pour donner un sentiment de jeunesse (n'est-ce pas Les Griffin).
L'attaque des Titans
Un épisode dédié à Star Wars, une tête volante de Zardoz, un clin d’œil caché à L'Attaque des Titans, un jeu vidéo inspiré de Final Fantasy, une référence au plagiat chinois honteux de Gumball...
De quoi vous donner envie de tous les chercher.
L'Héritage du cartoon
Plus important que tout, cette série est, à mon sens, l'un des dignes héritier de toute l'inconscient culturel de cette grande Histoire qu'est le Cartoon Américain, le mélange de la violence des dessins animés des années 30-40, la série familiale des années 60 et la nouvelle mouvance de toucher un public global avec ceux des années 90.
L'Incroyable Monde de Gumball assume ses délires, il va au plus loin et tente des choses originales qui vont au-delà des limites pour tenter tout ce qui peut être possible. Voilà pourquoi je vous conseille cette série. Alors oui, il y a des défauts, je l'admets comme la saison 1 qui est plutôt bof. Mais en soit, si je vous la conseille, c'est simplement pour vous donner une bonne partie de plaisir pour une oeuvre que je trouve un peu méconnu.
Merci d'avoir lu cet article et je vous souhaite une bonne semaine ! À plus !
Wow direct ?! Non, mais calme-toi public, je sais que tu me réclames, mais pas la peine de jouer les "tsundere" en manque d'affection sur ta personnalité préféré. (Personne ne te réclame, baka '^')
Alors oui, j'avais dit que j'étais de retour dans le monde du blogging pour de nouveaux articles, et ne vous inquiétez pas, j'ai encore plein d'articles gardés au chaud pour la suite des événements. Mais dois-je vous rappelez ce que j'ai dit lors de mon premier article, je fais des articles, QUAND JE VEUX ! Bon, toujours le dimanche, mais s'il y a une semaine sans contenu, alors il n'y aura rien. (Le mec, il respecte pas son public) Déjà parce que je prépare des trucs sympatoches, et aussi parce que j'ai une vie et que je ne désire pas créer du contenu à la va-vite et, soyons francs, horriblement mauvais.
Donc chose dite, mais je vais essayer, néanmoins, de rester suffisamment régulier pour ne pas non plus vous perdre. Bisous. À plus !
Bon sang, vous ne devinerez jamais ce qui m'est arrivé cette semaine ! (dis toujours ça m'intéresse)
Alors que j'étais tranquillement en train de cuisiner des muffins pour l'orphelinat des bébés phoques, une chouette est apparu chez moi avec un étrange courrier marqué d'un sceau provenant des plus grandes armoiries. Ça ne pouvait pas être une lettre de Poudlard, puisque j'ai déjà refusé (les sorciers c'est pas ma came), puis j'ai aperçu de plus prêt que l’emblème était plus prestigieux !
Pivaut, cette école qui... en vrai je vais pas essayer de vous le vendre, franchement c'est cool, c'est dur, et au final ça fait le café, voilà ! PIVAUT ! J'ouvre amoureusement l'enveloppe et descend mes yeux sur ces quelques mots "envoyez votre certificat médical à l'adresse..." NON PAS ÇA ! (lol) "Accepté en 2ème Année Bande Dessinée".
Je découvrais finalement qu'après une année de dur labeur, de dépression et de café (des tonnes), les portes de la section Bande Dessinée m'étaient finalement ouvertes, et je pouvais enfin, partir dans le monde du storyboarding* !
*Storyboard : dessins narratifs pour préparer un film, une bande dessinée, un clip,...
Ça s'est pas passé comme ça.
J'ai peut-être un peu exagéré, mais c'est qu'un texte, je peux écrire tout ce que je veux après tout. Comme supprimer ton existence de la réalité. MERDE ! Bon en tout cas, je vous souhaite à tous, une bonne semaine, voire une bonne vie et moi je m'en vais faire la danse de la joie ! À plus !
Bienvenue dans cette toute nouvelle rubrique qui sent bon le travail de qualité et l'envie de bien faire (et la fainéantise, faut pas déconner), la rubrique "@RNO s'ennuie" ! Un nouveau genre d'article sur ce magnifique blog visant à montrer des choses créatives, intelligentes qu'on peut faire avec pas grand chose, ou tout simplement certains trucs qui me passent par la tête et dont j'ai envie d'en discuter. Mais bon, le but étant de casser des articles qui restent sympathiques entre deux bandes dessinées pour garder une constante qualité.
Ça va les genoux ?
En tout cas, c'est l'objectif que je me suis donné, évitez à tout prix de recommencer à faire des articles de piètre qualité et qui nous pas eu un minimum de travail. Je veux garder un certain standard. En tout cas, merci d'être encore présent. À plus !
Hey mais c'est pas la rubrique "Connerie" que tu as transformé pour donner l'illusion de nouvea...
*fous une baffe*
Oh je suis désolé !
Faîtes pas gaffe, juste un adulte qui fait des trucs d'adultes.
